Avoine
La sculpture en acier inoxydable présente une découpe de graminée en cône qui évoque la Villa Grand Coteau, une exploitation agricole ayant laissé ses traces dans l’histoire de la ville.
Dans le cadre d’une initiative soutenue par le programme d’art public de la Ville entre 2010 et 2013, les quatre entrées de ville de Saint-Bruno-de-Montarville ont été marquées par des œuvres d’art public. L’œuvre intitulée Avoine, une œuvre de l’artiste Linda Covit, ponctue une de ces entrées, située à l’angle du boulevard Clairevue et de la rue Deslières.

Éclosion
Cette sculpture en granit se veut la représentation d’une fleur en pleine éclosion qui fait référence à la ceinture de verdure entourant Saint-Bruno.
Dans le cadre d’une initiative soutenue par le programme d’art public de la Ville entre 2010 et 2013, les quatre entrées de ville de Saint-Bruno-de-Montarville ont été marquées par des œuvres d’art public. L’œuvre intitulée Éclosion du duo d’artistes Cozic, composé de Monic Brassard et Yvon Cozic, ponctue l’une de ces entrées, à l’angle de la rue Montarville et du rang des Vingt-Cinq.

L’Homme Soleil
Cette murale de bronze, don du mécène et célèbre homme d’affaires Guy Laliberté, peut être appréciée au Centre Marcel-Dulude.
L’œuvre originale en céramique intitulée L’Homme Soleil, a été réalisée par l’artiste Jordi Bonnet entre 1973 et 1975.

L’embuscade d’hermès
Ce sentier se transforme en une œuvre d’art environnemental qui vient perturber la normalité paysagère. Celle-ci cherche à surprendre le passant dans une embuscade végétale. Aux aguets, ce dernier devient un promeneur des bois, s’en remettant aux bons auspices d’Hermès, dieu des routes et des voyageurs…
L’embuscade d’Hermès est une œuvre éphémère présente dans le paysage montarvillois depuis 2018, dont la durée de vie était estimée à trois ans.
À la fin du printemps 2023, le pont faisant partie de l’œuvre a dû être démantelé, ce dernier s’étant dégradé. La sphère et la pruche seront conservés tant que cela sera possible.
L’oeuvre de Frédéric Saia se retrouve au 15, rue des Peupliers.
En savoir plus sur la démarche artistique

L’Orme à Gaston
Située aux abords du Lac du village (côté rue Lakeview), l’œuvre de Pierre Leblanc, intitulée Un orme pour Gaston ou Hommage à Gaston Miron a été installée grâce à l’obtention d’une subvention de la Conférence régionale des élus (CRÉ) de Longueuil et a été inaugurée dans le cadre des Journées de la culture 2007. Il s’agit d’une oeuvre en deux parties en acier Corten en deux parties, qui se veut un hommage à Gaston Miron et fait référence à la disparition des ormes au Québec.
Né en 1949, le sculpteur Pierre Leblanc a participé à plus de 40 expositions solos ou de groupe au pays et à l’étranger. Tout au long de sa très prolifique carrière, il s’est inspiré de questions de société et de préoccupations environnementales. On peut admirer ses œuvres d’art public dans plusieurs municipalités du Québec.

Nature, environnement… une mission avouée
L’oeuvre représente un arbre et ses racines, elle est située à l’angle du boulevard Seigneurial et de la rue De Chambly. Elle mesure 7 m de haut par 2,4 m de large. Elle a été inaugurée le 18 novembre 2010 dans le cadre du programme d’art public de la ville. Cette initiative a permis d’ériger une œuvre à chacune des quatre entrées de ville, de 2010 à 2013.
Né en 1949, le sculpteur Pierre Leblanc a participé à plus de 40 expositions solos ou de groupe. Tout au long de sa très prolifique carrière, il s’est inspiré de questions de société et de préoccupations environnementales. On peut admirer ses œuvres d’art public dans plusieurs municipalités du Québec.

Tempus folium
Constituée d’acier inoxydable, une matière brute et rébarbative, cette œuvre inspire la vitalité. Elle s’inscrit également dans la continuité de la recherche de l’artiste sur l’antagonisme entre captivité et mouvement. L’œuvre a été réalisée avec la précieuse collaboration de Bertrand Jeanson et de Tristan Laflamme-Millette. Elle est située à l’angle du boulevard De Boucherville et du Grand Boulevard Est. Elle a été Inaugurée le 6 septembre 2012 dans le cadre du programme d’art public de la ville. Cette initiative a permis d’ériger une œuvre à chacune des quatre entrées de ville, de 2010 à 2013.
Résident de la Montérégie, Claude Millette a étudié auprès de sculpteurs de grande renommée tels Jordi Bonet et Robert Poulin, de même qu’à l’école de sculpture de Saint-Jean-Port-Joli. Détenteur de bourses du ministère des Relations internationales à deux reprises, du ministère de la Culture et des Communications et du ministère des Affaires culturelles, il a exposé un peu partout au Québec. De plus, il a vu nombre de ses sculptures intégrées à l’architecture d’édifices publics et de parcs du Québec.

La ligne d’or
L’oeuvre La ligne d’or d’André Fournelle a été installée à la bibliothèque municipale à l’automne 2016, dans le cadre d’importantes rénovations du lieu. L’artiste a créé cette pièce en lien avec sa précédente oeuvre, Méandre de lumière, installée lors de la construction de la bibliothèque en 1983, et que l’on retrouve dans une version abrégée, suite à une restauration par l’artiste. L’œuvre La ligne d’or a été officiellement inaugurée en présence de l’artiste lors du Déjeuner du maire du 22 octobre 2016.
Ce sculpteur québécois, dont l’œuvre se caractérise par un intérêt marqué pour les éléments naturels fondamentaux tels que le feu, l’eau, la terre, l’air et la lumière, affectionne particulièrement l’emploi du charbon et du néon pour ses tableaux et ses installations. La ligne d’or illustre bien les préoccupations de l’artiste : l’œuvre se compose de charbon sillonné d’une ligne, comme si la matière était traversée d’un chemin, d’une voie menant au savoir.
