Par Pierre Leblanc, 2010
Ce mouvement sinueux de l’eau vers l’intérieur du lieu, la nature « luxuriante » du site, ces arbres pleureurs, synthétisés à travers un seul spécimen arboricole avec sa traîne qui, telle une chevelure de femme, voit son panache découper l’espace aérien à l’entrée de la ville, annonçant ainsi la vocation profonde de la ville de Saint-Bruno-de-Montarville, soit la sauvegarde du lieu à travers la nature.
Il s’agit de la première œuvre installée dans le cadre d’une initiative soutenue par le programme d’art public de la Ville entre 2010 et 2013, grâce à laquelle les quatre entrées de ville de Saint-Bruno-de-Montarville ont été marquées par des œuvres d’art public.