• Pratiquez l’herbicyclage ou le feuillicyclage : l’utilisation des retailles de gazon et de feuilles mortes augmentent la teneur en matière organique des sols et stimulent les micro-organismes capteurs de nutriments et polluants, évitant qu’ils se rendent dans les cours d’eau ;
• Utilisez du compost ou du paillis pour enrichir le sol de vos plates-bandes et de votre jardin ;

• Au printemps, terreautez la pelouse avec 0,5 cm de compost. Faites-le pénétrer jusqu’au sol à l’aide d’un râteau.

• Attendez que les produits chimiques soient à leurs plus basses concentration avant de vidanger ;
• Autant que possible, vidangez l’eau sur votre terrain, sur une aire perméable, sans créer d’érosion (lessivage des sols) ;
• S’il y a beaucoup d’eau à vidanger, le faire en plusieurs étapes ;
• Rappelez-vous que la vidange d’eau à la rue par les égouts pluviaux revient au même que de le faire directement dans un cours d’eau ;
• Si vous devez remplacer votre filtreur, préférez un modèle à cartouche qui ne requiert pas de lavage à contre-courant (backwash).

• Protégez les zones vertes et les arbres ;
• Mettez en pile sécuritaire les sols avec une bâche ou un périmètre de protection ;
• Couvrez tous les matériaux granulaires et les tas à la fin de chaque journée et durant les pluies ;
• Entreposez les déchets dangereux dans un point haut et protégé ;  
• Mettez une barrière à sédiments sur le périmètre en bas de pente ;
• Protégez les puisards avec une bande et nettoyer lorsque les sédiments atteignent la mi-hauteur ;
• Installez un bassin imperméable pour le lavage du béton. Ne jamais rejeter le béton vers l’égout pluvial.

10 étapes pour prévenir la pollution des eaux sur les chantiers résidentiels

• Utilisez un produit écologique sans eau, ou si vous utilisez de l’eau, avec un sceau ;
• Rendez-vous dans un lave-auto commercial (ces endroits ne déversent pas l’eau dans les égouts pluviaux) ;
• Gérez l’eau de votre entrée charretière en la dirigeant vers un jardin de pluie ou mettez en place une dalle verte (entrée charretière perméable en gazon renforcé).

• Arrosez seulement la quantité d’eau nécessaire. Le gazon a besoin de 25 mm d’eau par semaine, pas plus. Une pluie abondante durant la semaine est suffisante (à noter que le gazon peut tomber en dormance lorsqu’il manque d’eau, mais redevient vert lors d’une nouvelle précipitation) ;

• Ensemencez les espaces dénudés ;
• Au printemps, terreautez la pelouse avec 0,5 cm de compost. Faites-le pénétrer jusqu’au sol à l’aide d’un râteau ;

• Diversifiez votre couvert (ex. trèfle blanc, thym, etc.) pour favoriser l’infiltration et la filtration de l’eau dans le sol. En laissant d’autres espèces s’établir sur votre pelouse, vous augmenterez la biodiversité de votre pelouse. De plus, elles sont moins sensibles à une invasion de vers blancs ou d’autres nuisibles.

• Créez des îlots de fraicheur avec des arbres, des plantes grimpantes, des haies arbustives, des plantes en pot et des surfaces pâles pour prévenir les zones où la chaleur est excessive lors des canicules. Le réseau d’égout pluvial est tellement efficace que l’eau captée n’a pas le temps de se refroidir avant le ruisseau. L’eau trop chaude contient moins d’oxygène et peut suffoquer les poissons ;
• Minimisez les surfaces imperméables (asphalte, béton, etc.).

• Apprenez à reconnaître ces plantes ;
• Retirez ces pantes de votre terrain et mettez-les dans un sac en plastique fermé, dans les ordures ;
• Ne pas mettre ces plantes dans le compost ou avec la collecte de résidus verts, car elles peuvent se propager ailleurs.

Sentinelle

Pour vous aider à reconnaître les espèces exotiques envahissantes et savoir comment se débarrasser de celles-ci.

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• Respectez la distance minimale d’une bande riveraine en santé selon la pente du talus sur votre terrain (10 à 15 mètres) ;
• Éliminez la pelouse en bordure de l’eau ;
• Plantez des herbacées, arbustes et arbres en privilégiant les espèces indigènes (originaires du Québec) ;
• Choisissez des mélanges de semences d’herbacées spécialisés (milieu humide, pente forte, etc.) et demandez des espèces indigènes, sans ajout d’engrais ;
• Ne construisez pas de bâtiments à proximité des bandes riveraines, car ils peuvent perturber l’écosystème, provoquer l’érosion et augmenter le ruissellement des eaux pluviales polluées et circulez hors de la bande riveraine avec la machinerie ;
• N’enlevez pas la végétation sur la bande riveraine car vous exposez les sols à l’érosion, ce qui peut entraîner des sédiments et des nutriments indésirables dans le cours d’eau ;
• N’installez pas de paillis dans la bande riveraine.

• N’employez pas d’engrais, de produits chimiques ou de compost dans les bandes riveraines et évitez de fertiliser les zones et terrains adjacents de celles-ci car les produits chimiques peuvent s’écouler dans les lacs et cours d’eau de la municipalité, provoquant une prolifération d’algues nuisibles et altérant la qualité de l’eau ;
• Ne fertilisez pas les bandes riveraines et les terrains adjacents si vous ajoutez des fertilisants car vous augmentez la quantité de nutriments qui pourront potentiellement être lessivée dans les sols et se retrouveront dans les cours d’eau. Cela aura pour effet d’affecter la qualité de l’eau ;
• Ne tondez pas la bande riveraine, cela permettra, en cas de forte pluies, de retenir les excédant de fertilisants et limitera la pollution du cours d’eau par ceux-ci.

• Utiliser un produit écologique avec un sceau ;
• Rendez-vous dans un lave-auto commercial (ces endroits ne déversent pas leur eau dans les égouts pluviaux) ;
• Gérer l’eau de l’entrée charretière vers un jardin de pluie ou mettre en place une dalle verte (entrée charretière perméable en gazon renforcée).

• Arroser seulement la quantité d’eau nécessaire. Le gazon a besoin de 25 mm d’eau par semaine, pas plus. Une pluie abondante durant la semaine est suffisante pour le besoin en eau (à noter que le gazon peut tomber en dormance lorsqu’il manque d’eau, mais redevient vert lors d’une nouvelle précipitation) ;

• Ensemencer les espaces dénudés ;

• Afin de favoriser l’infiltration et la filtration de l’eau dans le sol, il est préférable d’avoir une pelouse constituée de différentes espèces végétales. En laissant d’autres espèces s’établir sur votre pelouse, vous augmenterez la biodiversité de votre pelouse et vous favoriserez l’infiltration de l’eau dans le sol (trèfle blanc, thym, etc.). De plus, elles sont moins sensibles à une invasion de vers blancs ou autres nuisibles.

• Attendre que les produits chimiques soient à leurs plus basses concentration avant de vidanger ;
• Autant que possible vidanger l’eau sur le terrain, sur une aire perméable, sans créer d’érosion (lessivage des sols) ;
• S’il y a beaucoup d’eau à vidanger, le faire en plusieurs étape ;
• Se rappeler que la vidange à la rue ou au réseau d’égout pluvial revient au même qu’ au cours d’eau ;
• Si vous devez remplacer votre filtreur, préférez un modèle à cartouche qui ne requiert pas de lavage à contre-courant (backwash).

• Protéger les zones vertes et les arbres ;
• Mettre en pile sécuritaire les sols avec une bâche ou un périmètre de protection ;
• Couvrir tous les matériaux granulaires et les tas à la fin de chaque journée et durant les pluies ;
• Entreposer les déchets dangereux dans un point haut et protégé ;
• Mettre une barrière à sédiments sur le périmètre en bas de pente ;
• Protéger les puisards avec une bande et nettoyer lorsque les sédiments atteignent la mi-hauteur ;
• Installer un bassin imperméable pour le lavage du béton. Ne jamais rejeter le béton vers l’égout pluvial.

10 étapes pour prévenir la pollution des eaux sur les chantiers résidentiels

• Apprenez à reconnaître ces plantes ;
• Retirez ces pantes de votre terrain et mettez-les dans un sac en plastique fermé, dans les ordures ;
• Ne pas mettre ces plantes dans le compost ou avec la collecte de résidus verts, car elles peuvent se propager ailleurs.

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