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Le boisé donné par Guy Laliberté sera nommé Réserve Laliberté

Bas de vignette : Sur la photo, de gauche à droite, M. Ludovic Grisé Farand, maire, Mme Louise Dion, conseillère du district 1 – Des explorateurs, et Mme Hélène Ringuet, conseillère du district 6 – De la montagne, et responsable de l’environnement pour le conseil. Crédit photo : Vicky Gosselin

Le conseil municipal de Saint-Bruno a officiellement adopté l’usage toponymique Réserve Laliberté pour désigner le terrain boisé d’une superficie de 251 208 pi2 (23 338 m2), donné à la Ville par un citoyen, M. Guy Laliberté. Situé au nord-est du boulevard Clairevue, à proximité du chemin De La Rabastalière Est et du parc national du Mont-Saint-Bruno, ce secteur constituera une précieuse zone de conservation pour les générations futures.

L’usage du nom « Réserve Laliberté » vient reconnaître la générosité de M. Laliberté, qui a accepté de céder ce terrain à la Ville sans aucune compensation, permettant ainsi de préserver une zone à haute valeur écologique. Le nom de la réserve avait d’ailleurs été proposé par M. Laliberté, et accepté par la Ville.

« Au nom du conseil municipal, je remercie chaleureusement M. Guy Laliberté pour ce don d’une grande valeur environnementale et humaine. Son geste altruiste laissera un héritage durable à notre collectivité », a déclaré le maire de Saint-Bruno-de-Montarville, Ludovic Grisé Farand.

« Je suis fière que ce magnifique boisé soit dorénavant protégé et mis en valeur pour l’ensemble des citoyens du secteur. C’est un bel ajout au patrimoine forestier pour notre district et pour notre qualité de vie collective », a indiqué la conseillère du district 1 – Des explorateurs, Louise Dion.

« Ce don remarquable s’inscrit dans une démarche de protection de nos milieux naturels et témoigne d’un engagement concret envers l’environnement. La Réserve Laliberté sera un legs important pour les générations à venir », a ajouté Hélène Ringuet, conseillère du district 6 – De la montagne, et responsable de l’environnement pour le conseil.

En devenant propriétaire de ce terrain, la Ville s’engage à protéger les écosystèmes riverains, humides et forestiers et y préserver la qualité des habitats fauniques, floristiques et des milieux naturels qui s’y trouvent.